#yordanos shifera
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haveyouseenthismovie-poll · 1 year ago
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fuoridicinema · 6 years ago
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Gli invisibili. Cosa vedere al cinema dall'11 aprile
Gli invisibili. Cosa vedere al cinema dall’11 aprile
Cosa vedere al cinema dall’11 aprile? Come ogni settimana arriva la nostra rubrica di cinema poco visibile. Vi segnaliamo e consigliamo i film in sala con una bassa distribuzione, le pellicole poco pubblicizzate che meriterebbero di essere conosciute. Correte a cercarli nella vostra città prima che vengano tolti, oppure se non li trovate, segnateveli per recuperarli in futuro.
 Cafarnao. Caos e

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acervoculturaldorefugio · 3 years ago
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Filme ÂŽÂŽCafarnaumÂŽÂŽ
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Ano de lançamento: 2018
Diretor:  Nadine Labaki
Elenco: Zain Al Rafeea, Yordanos Shifera, Boluwatife Treasure Bankole, Kawsar Al Haddad, Fadi Kamel Yousef 
Disponível em:  Amazon Prime, NOW, Google Play, Claro Vídeo, Youtube, iTunes
Zain, um menino de 12 anos lutando para sobreviver nas ruas de Beirute no LĂ­bano, processa seus pais por tĂȘ-lo trazido para um mundo tĂŁo injusto, onde ser um refugiado sem documentos significa que seus direitos podem ser facilmente negados.
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pakistantalkshow · 7 years ago
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Syrian refugee boy stands out at Cannes 2018 | Entertainment
Syrian refugee boy stands out at Cannes 2018 | Entertainment
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Lebanese producer Khaled Mouzanar, Lebanese director and actress Nadine Labaki, actor and refugee Zain Al Rafeea, Ethiopian actress Yordanos Shifera and a guest at a screening for “Capharnaum” at the Cannes Film Festival. Photo: AFP
A 13-year-old Syrian refugee boy became the star of the Cannes film festival Friday for his breathtaking performance in a Lebanese film many see as the

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leblogdemarinaetjm · 6 years ago
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VENDREDI 2 NOVEMBRE 2018 (Billet 2 / 3)
« CAPHARNAÜM »
Un film libanais de Nadine Labaki (2h03), avec Zain Alrafeea, Nadine Labaki, Yordanos Shifera

« CapharnaĂŒm », c’est un peu « Oliver Twist « ou « Les MisĂ©rables » de nos jours au Proche-Orient : une fable hyperrĂ©aliste, dense et émouvante, sur l’errance d’un gamin livrĂ© Ă  lui-mĂȘme dans les rues de Beyrouth. Un film rĂ©compensĂ© d’un Prix du Jury au Festival de Cannes et signé de la rĂ©alisatrice (et actrice) libanaise Nadine Labaki, oĂč les enfants tiennent la vedette, allant jusqu’à dĂ©fier les adultes et mĂȘme leurs gĂ©niteurs.
« Sais-tu pourquoi tu es au tribunal ? », demande le juge Ă  Zain, le jeune hĂ©ros du film ? « Je veux attaquer mes parents en justice, pour m’avoir mis au monde ! », rĂ©pond-il du tac au tac. Cette rĂ©plique, devenue culte, est la plus Ă©crite d’un scĂ©nario que Nadine Labaki a laissĂ© volontairement ouvert Ă  l’improvisation de jeunes (et moins jeunes) acteurs amateurs, recrutĂ©s dans la rue et dont la vie se confond souvent avec celle des personnages qu’ils incarnent, enfants maltraitĂ©s, jeunes femmes contraintes Ă  des mariages forcĂ©s, travailleurs sans-papiers, victimes de la corruption, des migrations, du racisme, de la misĂšre

Un pĂȘle-mĂȘle de sujets d’actualitĂ©
N’en jetez plus, voilĂ  tous les sujets, posĂ©s lĂ , en vrac, et 20 Minutes a demandĂ© Ă  Nadine Labaki comment elle a rĂ©ussi Ă  ordonner un tel « capharnaĂŒm » (d’oĂč le titre) pour en faire un film aussi cohĂ©rent. « C’est vrai qu’au dĂ©part, je voulais parler de tous ces problĂšmes, et puis un soir, j’ai Ă©tĂ© happĂ© par l’image d’un enfant assoupi dans les bras de sa mĂšre qui mendiait. Il ne pleurait pas, ne semblait rien demander d’autre que dormir. C’est lui qui m’a donnĂ© l’idĂ©e de concentrer le sujet du film sur l’enfance et l’injustice de recevoir la vie quand on est ainsi privĂ© de tous les droits. »
Etre soi-mĂȘme car la vĂ©ritĂ© suffit
La prĂ©paration du film a durĂ© trois ans. A mesure que Nadine Labaki Ă©crivait son script, les personnages surgissaient dans la rue et la directrice de casting les engageait : Zain (Zain Al Rafeea), le petit rĂ©fugiĂ© syrien de 12 ans dont la vie est trĂšs semblable Ă  celui qu’il incarne, mĂȘme chose pour Rahil (Yordanos Shiferaw), la jeune ErythrĂ©enne arrĂȘtĂ©e dans le film, mais aussi pendant le tournage parce que sans papier. Ou pour la plupart des mĂšres : « Celle qui nourrit ses enfants au sucre et aux glaçons dans le film l’avait fait dans la rĂ©alité  », note Nadine Labaki.
La fiction rattrapée par la réalité
Tous ces moments, oĂč la fiction et la rĂ©alitĂ© se tĂ©lescopent, contribuent Ă  la sincĂ©ritĂ© du film. « Rien n’y est fantasmĂ© ou imaginĂ©, au contraire, affirme Nadine Labaki. Des enfants comme Zain, il en existe des centaines, des milliers, et aucun ne vous dira qu’il est heureux d’ĂȘtre nĂ©. De tout ce que j’ai vu ou vĂ©cu, il y a des choses que je n’ai pas gardĂ©es, par pudeur. Ce qui arrive aux personnages du film est nettement moins terrible que dans la rĂ©alitĂ©. ».
Tout est (presque) bien, qui finit (presque) bien
Si le film se termine bien pour les protagonistes, dans la rĂ©alitĂ© aussi, leur situation semble s’ĂȘtre stabilisĂ©e. « Leur destin est en train d’évoluer en mieux », assure Nadine Labaki. La famille de Zain a pu s’installer en NorvĂšge grĂące aux Nations Unies et, pour la premiĂšre fois de sa vie, le petit garçon a fait sa rentrĂ©e des classes
 « Le sourire de Zain Ă  la fin du film prend enfin tout son sens : il ne sourit plus seulement pour la camĂ©ra, il sourit en vrai. » Depuis Cannes, la cinĂ©aste a toujours dit espĂ©rer que le happy end ne se limite pas Ă  l’écran et se produise dans la rĂ©alitĂ©. « Il y aurait encore tellement Ă  faire, mais au Liban, depuis sa sortie en septembre, « CapharnaĂŒm » a au moins lancĂ© un dĂ©bat. »
(Source : « 20minutes.fr »)
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JM, aprĂšs avoir un temps hĂ©sitĂ© (malgrĂ© son Prix du Jury Ă  Cannes, les critiques n’étaient pas terribles
) est allĂ© tout seul voir ce film mercredi aprĂšs-midi.
Et il ne l’a pas regrettĂ©. Certes, le film aurait pu faire facilement une demi-heure de moins, en retirant par exemple quelques redondances dans la narration et certaines scĂšnes un peu trop mĂ©lodramatiques (dans la prison par exemple
 mĂȘme si elles sont ‘authentiques »), ce qui aurait permis d’éviter les reproches en ce sens que lui ont fait des critiques (au cƓur plus dur).
Ce qui gĂȘne aussi un peu, mais il faut reconnaĂźtre que c’est totalement injuste, c’est que le rĂŽle principal est tenu par un enfant trop « mignon ». Et oui ! Il joue merveilleusement bien mais la joliesse de ses traits surligne la moindre de ses Ă©motions
 Il aurait fallu « caster » un gamin au physique plus « neutre », plus « typé » peut-ĂȘtre. Un peu comme celui qui joue dans la premiĂšre partie de « Slumdog Millionaire ». Le film, paradoxalement, aurait semblĂ© plus « crĂ©dible ».
Mais par contre ce qui est plus que REMARQUABLE dans ce film, c’est la direction d’acteurs. Ils sont tous excellents. AprĂšs le jeune Zain, la palme revient au petit bĂ©bĂ© Ă©rythrĂ©en. Quand on connaĂźt la difficultĂ© de faire tourner des enfants au cinĂ©ma (se souvenir des propos de François Truffaut dans « La nuit amĂ©ricaine »), la metteuse en scĂšne peut ĂȘtre applaudie longuement ne serait-ce que pour ça. Bravo !
Quant au sujet du film, la description de la vie quotidienne et le statut des Ă©migrĂ©s dans les bidonvilles de Beyrouth font nous interroger sur un des problĂšmes majeurs de notre Ă©poque. Que faut-il faire ? Qu’est-il possible de faire ? Les questions sont plus faciles Ă  poser que les solutions Ă  trouver !
JM lui a donnĂ© ♄♄♄ sur 5
 mais en prĂ©sence de la rĂ©alisatrice et des acteurs (jeunes et moins jeunes), sachant toutes les difficultĂ©s rencontrĂ©es, il aurait facilement multipliĂ© par 10 le nombre de ses « cƓurs ». On ne se refait pas

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mrmichaelchadler · 7 years ago
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Cannes 2018: Dogman, Capernaum
The morning dawned in Cannes with cloudy skies over the port, and an early chill in the air that could promise more rain in this mostly sunless week at the film festival. It was a fitting setup for Italian director Matteo Garrone’s new film “Dogman,” premiering in competition. Garrone scored an international hit in 2008, with his contemporary gangster saga “Gomorrah,” which won the Grand Jury Prize at Cannes. Following satires “Reality” and “Tale of Tales,” he returns to the gangster genre with this dark tragic portrait of a little man who hitches his star to a violent force he can’t control.
Marcello (Marcello Fonte), a dog groomer by trade, is a diminutive man with a grave-pinched face that wouldn’t be out of place in Modigliani painting. His town is a bleak seafront outpost with a line of shabby shops facing an empty plaza baking in harsh sun. On the side, he supplies cocaine to the hulking, unstable punk Simoncino (Edoardo Pesce), a mob unto himself who is despised throughout the neighborhood, and to whom Marcello shows fealty in a strange, self-destructive bondage.  
Marcello’s loving affinity for dogs of every kind is deep, boundless, and beautifully affecting. In fact, it’s the only unadulterated thing in “Dogman.” This is affectingly portrayed when, after moonlighting as the getaway driver for a late-night home invasion, he returns alone to the ransacked scene of the crime to rescue a Chihuahua that Simoncino has boasted of brutalizing and leaving to die.  
Symbolic of the unequal relationship between the two men, Garrone sets up a visually surreal contrast between the undersized groomer and the dogs he serves in his line of work, with many views of Marcello dwarfed by a Great Dane or mastiff posed majestically like a Sphinx on the grooming table. His ability to gentle these massive creatures that sometimes snarl and lunge does not carry over to humankind.  
Garrone doesn’t explain what links Marcello to a mad-dog of a man like Simoncino with such puppy-like devotion, whether strictly for money, out of fear, or out of something else entirely, but he allows the terrible trajectory of their relationship to play out with a mythic inevitability. Time and again the thug betrays Marcello’s misplaced trust, finally bringing him down with a robbery that destroys his reputation and his livelihood, and makes him a pariah among the little circle of smalltime business owners that he counted as his friends and associates. Garrone sets the stage for an intense and powerful day of reckoning, when master and dog will trade places.  
The criminal hero of “Capernaum,” also premiering in competition today, is a twelve-year-old child, but so slight and undersized that he looks no more than eight. He is first seen being led to court in handcuffs. “Capernaum,” by Lebanese director/actress Nadine Labaki (“Caramel”), is the final of the three films by female directors to debut in this year’s competition.  
Speculation and polls concerning the Palme—for what they are worth, since no one truly knows—have Hirokazu Kore-eda’s child-centered family drama “Shoplifters” as the likely favorite of Cate Blanchett’s jury so far. If they like “Shoplifters,” they may love "Capernaum," a statement I make in all cynicism, for it’s a cathartic but manipulative film, the kind that ends up as humanistic Oscar bait.
Zain (Zain Alrafeea), is the son of a slum-dwelling Beirut family with so many children that it’s never made clear just of many brothers and sisters he has. He’s a tough-talking little boy who smokes, swears, and swaggers like an adult, forced by his parents to work for a convenience store owner, with some drug running on the side. The boy cherishes his pretty eleven-year-old sister Sahar (Cedra Izam), but she is as good as cash to the family after she has her first period, and Zain runs away once her fate is sealed. Legally he doesn’t exist, for his birth was never registered, and he’s never been to school. 
Director Labaki has cast the film well, with first-time actors whose real-life situations mirror those of her characters. Alrafeea is a natural, with a clever expressive face and the charisma of a movie star, a rare find who easily carries the film. The bulk of his story is depicted in flashback from the day he appears in court to sue his parents for giving him life.  
Zain forms a makeshift family with Rahil (Yordanos Shifera), an undocumented Ethiopian immigrant who takes him to her squatter’s shack out of pity, where he becomes babysitter and surrogate big brother to her toddler Yonas. When Rahil fails to come home one day, the film becomes the survival odyssey of the two children, with Zain’s unflagging adult smarts and ingenuity keeping them alive against all odds, until it all comes to a climax before a judge.
Despite the realist settings, “Capernaum” is not a social realist film. It's a heart-rending melodramatic cocktail with touches of light humor, beautiful but wronged children, and characters who function as certified villains despite the fact that circumstances render them victims themselves. Soaring soundtrack music makes it go down easy. Not to denigrate the seriousness of Labaki’s pure intentions, but it’s the kind of film calculated to make audiences feel good about human rights as long as the need wears an appealing face. 
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